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Après une pause estivale du blog et la fierté d'avoir fêté un an de cette palpitante aventure de partage, un post spécial de "reprise" pour exprimer ma gratitude à ma soeur et mes frères pour quelques éclats de précieux souvenirs émotionnels en juillet et août.

Et Merci à Toi, qui prend le temps de flâner dans ce petit coin de belles découvertes que j'ai à coeur de te partager !


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Envie d'abord de te parler d'une lecture et d'une chouette rencontre particulièrement éclairante ! Celle du canadien François Lemay, au Palais des Congrès de Paris en avril dernier, auteur du best seller "Tout est toujours parfait! L'art d'accueillir ce qui est", dont la dédicace "Amuse toi avec amour et audace" a tant fait écho cet été.


Son livre foisonne de pépites nous aidant à prendre conscience du plein potentiel de créativité qui nous anime et qui nous fait vraiment vibrer ! C'est une captivante invitation à suivre notre intuition en écoutant davantage les émotions qui nous habitent et en prêtant pleinement attention au moment présent.


Y fleurissent aussi des encouragements à apprendre à nous libérer progressivement de nos "conditionnements inconscients", de nos peurs, tout en étant bienveillant avec nous-mêmes...pour ETRE tout simplement ! Car "ce sur quoi je place mon attention (ma visualisation) prend de l'expansion et devient vibration", "it's a process! Tout est toujours parfait".


Parcourir de nouveau ce livre quelques jours avant mon escapade estivale tant attendue à Montréal, a été un joli clin d'oeil à l'été revitalisant que j'ai vécu, riche de découvertes et de challenges fous fous fous !


Mais avant cet envol là, fin juillet, je me suis d'abord laissée surprendre par des invitations musicales de dernière minute et comme j'ai savouré pleinement la chance de vivre ces instants là !


Merci Soeurette pour cette nuit magique à la "découverte" live du groupe pop rock américain, Imagine Dragons au festival Lollapalooza ! Une soirée mémorable qui m'émotionne encore, happée dans leur énergique, captivante, bouleversante, enivrante atmosph'air...


Que de générosité, de partage, d'émotions vives et de vibrations passionnées sur scène ! Et quelle énergie communicative nous habite immédiatement que leur musique résonne et que la voix du charismatique (et bondissant) Dan Reynolds nous transporte et nous électrise ! Emouvant de sincérité dans ses apartés, il nous cueille en parlant droit au coeur...

Et comme la scène palpite au rythme de la complicité et de l'enthousiasme contagieux de chacun (le guitariste Wayne Sermon, le batteur Dan Platzman et le bassiste Ben McKee).


Et que dire de cette première immersion au Stade de France pour profiter, presqu'en bord de scène, du live spectaculaire et coloré de Coldplay ! Merci frérot pour cette énorme Surprise !


Enfin, comme les mots de François Lemay :"Amuse toi avec amour et audace" m'ont accompagné lors de mon extra-ordinaire quinzaine outre-atlantique, de New York à Montréal, rythmée par un flot de découvertes, de sunsets partagés avec le frérot au sommet des gratte-ciels new yorkais, ou en haut de l'Observatoire du Mont-Royal à Montréal.


Merci encore pour tous ces beaux et vivifiants souvenirs à 7h de vol de Paris ! Cette longue conduite nocturne des chutes du Niagara à New York, l'escale au Museum of Modern Art (MoMA) pour en prendre plein les yeux et le coeur avec "La nuit étoilée" de Van Gogh, la croisière avec vue sur la statue de la liberté. L'émerveillement de voir à Broadway la formidable comédie musicale "The Lion King", les dizaines de milliers de pas dans les ruelles ensoleillées de New york ! S'égarer un peu dans l'immensité de Central Park, déambuler dans la gare centrale et à Times Square..., sans oublier les frissons en écoutant en live de bon matin du Gospel à Harlem,...


Et puis, que dire de Montréal qu'il me tardait de découvrir en chair et en os, après avoir vu défiler sur l'écran, tant de magnifiques paysages aux couleurs d'automne ou hivernales.

Une pluie de souvenirs à cheminer sur la longue avenue de Wellington, à m'émerveiller des heures durant, de la variété de couleurs et de plantes au jardin botanique, à "chiller" dans les vastes parcs, à tenter d'apercevoir des baleines à Tadoussac !


Montréal où j'ai eu aussi plaisir à retrouver après quelques décennies une amie d'enfance et sa jolie famille pour partager de précieux "instants présents" et de délicieux et chaleureux repas pantagruéliques dans un chouette chalet en bord de lac ! Quelle exaltante virée en pleine nature, ponctuée de balades en canoë et d'une randonnée matinale à destination de jolis points de vue.

Que de partages, de rencontres précieuses et d'émouvantes retrouvailles, de sourires contagieux et d'yeux enchantés et que de challenges fous réalisés... à l'image de la Surprise du saut en parachute que j'ai tant apprécié, pour consteller ces super vacances d'été !







 
 
 

Ennio, documentaire réalisé par Giuseppe Tornatore, sort dans les salles françaises 2 ans après la mort du talentueux et prolifique compositeur italien, Ennio Morricone, à 91 ans. Giuseppe Tornatore, ami de longue date du Maestro, et oscarisé en 1989 comme meilleur film étranger avec « cinema paradiso », lui rend ici un vibrant hommage.

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Présenté en sélection officielle de la Mostra de Venise en 2021, le portrait démarre par notre découverte de l’environnement de travail du célèbre compositeur. C’est au milieu d’un grand bureau bordé de livres et de partitions qu’il nous livre quelques précieuses anecdotes qui ont dessiné sa carrière. A l’image de l’affiche, on l’y voit également battre énergiquement la mesure pour accompagner ses souvenirs.


Film riche de découvertes pour toutes les générations, où Ennio Morricone se livre en partie sur son enfance dédiée aux cours de trompette et à ses études au conservatoire auprès de son illustre professeur de composition Petrassi. On y apprend qu’il a suivi la volonté de son père trompettiste alors qu’il se destinait à la médecine. On y voit aussi se déployer l’ombre lumineuse de sa femme Maria, pilier et moteur de ses multiples succès, car il la consulte toujours en premier lieu.


Très connu pour sa complicité avec le réalisateur Sergio Leone et leurs nombreuses et mémorables collaborations autour des westerns, tels que « pour une poignée de dollars », « le bon, la brute et le truand » ou « il était une fois dans l’ouest », il nous dévoile que leur première rencontre s’est faite sur les bancs de l’école.


On est frappé au cours de ce documentaire abondant, par la productivité galopante du Maestro autour de réalisateurs variés (Dario Argento, Roland Joffé, Quentin Tarantino, Bernardo Bertolucci,…), témoignant brièvement chacun de leur volonté de solliciter Ennio Morricone pour illustrer en bruitages de tout genre et symphonies leurs films. En effet, Ennio Morricone insuffle une énergie et sensibilité particulières aux images et exprime tant de sentiments à travers ses notes.


« La musique ne se décrit pas, elle s’écoute » dit-il ! Et, l’ensemble de ses bandes originales de film, au nombre de 500, les décennies passant depuis sa première immersion en1961 pour le cinéma, habillent avec finesse tant les personnages que l’ensemble d’un film. Certaines de ses œuvres happent et enveloppent le spectateur ou l’auditeur, de telle sorte que les premières notes projettent immédiatement au cœur des scènes marquantes et font totalement corps avec les œuvres cinématographiques.


Invitation à découvrir ou redécouvrir ses plus grandes créations au fil de sa notoriété grandissante auprès du grand public, ce documentaire esquisse les moments suspendus de vives émotions de la foule qui l’ovationne et qui s’émotionne de chacune de ses prestations sur scène. Un vibrant hommage qui donne envie de plonger en profondeur dans ses diverses contributions.




 
 
 

Toujours un grand bonheur à se laisser transporter par la joyeuse et débordante énergie de la chanteuse Juliette Noureddine sur scène...

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Programme enchanteur que de profiter du spectacle vocal offert par la lumineuse Juliette. Un ravissement de se délecter tant de son humour contagieux, que de s'émerveiller de la beauté et de l'intensité de son florilège de chansons tantôt bouleversantes ("aller sans retour"), tantôt délicieusement pétillantes ("braise").


Et puis,...


Et puis, cette chanson de 2005 "une lettre oubliée" (inoubliable et touchant duo avec Guillaume Depardieu, trop tôt disparu...), qui m'avait donné une envie irrésistible de découvrir le répertoire de cette auteure-compositrice ayant fêté ses 20 ans de carrière en 2004. Mieux vaut tard...


Je me souviens encore, combien cette chanson poignante m'avait émue aux larmes avec la bouleversante interprétation de Guillaume Depardieu la première fois que je l'avais entendu sur les ondes. Une si touchante déclaration merveilleusement partagée par ce duo renversant !


Derrière son piano, ou au milieu de la scène, quelle présence et générosité de Juliette qui nous dévoile sans retenue sa sensibilité et nous laisse béat d'admiration de sa plume vibrante, teintée de réalisme et de fantaisie !


Après son mémorable concert à la salle Pleyel en avril 2018, comme je suis contente d'avoir saisi l'opportunité de goûter pleinement à son captivant live à la Scala de Paris le 13 juin dernier. La chanteuse Juliette nous a offert le temps d'une palpitante soirée riche de rappels, en compagnie de l'orchestre Silbando, sa passion du tango.


Quel beau et savoureux moment d’entendre les nouvelles orchestrations de certaines de ses chansons, de découvrir quelques chansons de Carlos Gardel, ainsi que des anecdotes cocasses que la chanteuse a plaisir à partager. Et puissante et contagieuse fût sa joie d'exprimer à tout le public enthousiasmé combien cette soirée-là a résonné comme un joli et précieux rêve concrétisé.


Quelle ovation en fin de spectacle et que de sourires ravis arborés sur l'ensemble des visages dans la foule émue et reconnaissante de ces instants-là !



 
 
 
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